Depuis 2003 la Cie « A l’improvisade » qui regroupe, des improvisateurs chevronnés issus de la manifestation éponyme, crée des événements, invente des manifestations, imagine des concepts* originaux (spectacles improvisés) pour tous les publics, adaptés à tous les types de lieux (théâtres, entreprises, rues, plages, etc.) ou circonstances (séminaires, soirées, événementiels, formation).
Voir pages : spectacles et concepts « maison » + événements et manifestations
Pour en connaître les conditions techniques et les tarifs : contact@improvisades.org
Nous produisons ou co-produisons également les spectacles d’anciens joueurs de la manifestation, des membres de nos ateliers ou des étudiants de la Sorbonne Université. Nous les aidons dans leur désir de prolonger l’euphorie de la manifestation, tout en cherchant un autre champ d’expression que le match, ces troupes ou personnalités progressent en toute indépendance, se croisent souvent, échangent parfois idées et joueurs et se retrouvent à l’occasion d’événements, de spectacles, ou de tournées (Européennes notamment). Elles mutualisent salles de répétitions, salles de spectacles (voir IMPROVIBAR), réseaux, tuyaux, énergie et rigolades. Elles proposent de l’impro sans complexe, sous la forme de concepts maison, mais aussi de la musique, du chant, de la danse, de la vidéo, du théâtre, etc.
* Qu’est ce qu’un concept ?
Le spectacle d’impro n’est pas codifié. Il dépend de ce que l’équipe a décidé de monter et de montrer, de l’univers qu’elle veut habiter. Cependant, on y retrouve des différences essentielles avec le match, présentes dans la plupart des spectacles :
- Le thème (ou équivalent) est fourni par le public. Il ne s’agit pas forcément d’un mot, ce peut être un objet, une situation, une citation, un livre, …
- La catégorie (ou équivalent) est souvent absente. Quant elle est présente, elle est également fournie par le public, mais, souvent, de façon indirecte (le public ne sais pas quelle catégorie il choisit).
- Les fautes d’impro sont souvent transgressées, mais les acteurs en ont conscience. En effet, les fautes d’improvisation ont une raison (l’interdiction du refus a pour but par exemple de promouvoir la construction d’une histoire). Leur transgression dans un spectacle la prend en compte (Un refus sera suivi d’une autre proposition, ou justifiée, de façon à continuer la construction).
- Le temps est géré par les acteurs eux même, et non prédéfini.
- La scène s’il y en une, n’a pas à priori de limites, même si l’essentiel du spectacle s’y déroule.
- Quelques objets simples ou pratiques (ex : des chaises) peuvent-être utilisés.